La 29e Conférence des Parties (COP29) sur le climat, tenue à Bakou, en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024, a vu la République Démocratique du Congo (RDC) s’imposer comme un acteur incontournable dans la préservation de la biodiversité.
Représentée vendredi 15 novembre 2024 par le Ministre d’État en charge de l’Aménagement du Territoire, S.E.M Guy LOANDO MBOYO, la délégation congolaise a défendu avec ferveur une vision ambitieuse, conciliant développement économique et protection environnementale, en parfaite adéquation avec la politique éclairée du Président Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Cette vision, audacieuse et novatrice, a su captiver l’attention des participants venus du monde entier.
Le Ministre d’État, au cours de son intervention remarquée, a mis en lumière l’énorme potentiel de la RDC en matière de gestion durable des ressources naturelles. Il a notamment insisté sur l’importance cruciale des crédits carbone, soulignant leur rôle essentiel dans la transition vers une économie verte et durable.
De plus, il a plaidé pour une agriculture durable, respectueuse des écosystèmes fragiles, et a appelé à un accroissement significatif des financements verts pour soutenir les projets environnementaux structurants. En effet, la RDC, dotée d’une biodiversité exceptionnelle, possède un atout majeur dans la lutte contre le changement climatique, un atout qu’il convient de préserver et de valoriser.
Par ailleurs, l’engagement du Ministre d’État a démontré, avec force et conviction, la détermination du gouvernement congolais à faire face aux défis du changement climatique. Son intervention, riche en arguments et étayée par des données concrètes, a permis de mettre en avant les initiatives déjà entreprises par la RDC et de solliciter le soutien de la communauté internationale pour la mise en œuvre de nouveaux projets ambitieux.
Il a également abordé, avec une grande clarté, les défis liés à la déforestation illégale et à la gestion des ressources minières, soulignant la nécessité d’une coopération internationale accrue pour lutter contre ces menaces. En résumé, la participation active de la RDC à la COP29 a permis de démontrer que le développement économique et la protection de l’environnement ne sont pas incompatibles, mais bien complémentaires.
En somme, la présence remarquée de la RDC à la COP29 a permis de mettre en avant l’engagement du pays dans la lutte contre le changement climatique. Grâce à l’action déterminée de son représentant, la voix de la RDC a résonné avec force et conviction, plaçant le pays au cœur des négociations internationales.
On peut affirmer, sans risque de se tromper, que la RDC a joué un rôle majeur à Bakou, marquant ainsi un tournant décisif dans la lutte mondiale pour la préservation de la biodiversité. La RDC, force tranquille et acteur clé de la COP29, a ainsi posé les jalons d’un avenir plus vert. Le message est clair : la RDC est prête à assumer ses responsabilités, et l’avenir de la planète en dépend. On attend désormais la suite des événements avec impatience. L’avenir nous dira si les engagements pris à Baku seront tenus. L’heure est à la mobilisation générale !
Josué KALUBI