« Le Maroc a réalisé de grands acquis dans le domaine de la transition énergétique, en appuyant les investissements dans les initiatives climatiques », (Vice-SG de l’ONU)



Les travaux du Segment ministériel de la Conférence de Haut Niveau sur les pays à revenu intermédiaire se sont ouverts, mardi 6 février 2024 à Rabat, au Royaume du Maroc. Le thème débattu par les différents experts réunis au Maroc s’intitule: »Solutions aux défis du développement des pays à revenu intermédiaire dans un monde en mutation ».


A la cérémonie inaugurale de ces assises, la vice-secrétaire générale des Nations-Unies, Amina J. Mohammed a reconnu la place prépondérante du Maroc en tant que modèle d’investissement dans le capital environnemental pour ses « grands » acquis réalisés dans le domaine de la transition énergétique. appelant à généraliser l’expérience marocaine sur le continent africain pour saisir les opportunités qui en découlent et relever les défis de développement.



A cet égard, la vice-secrétaire générale de l’ONU a mis en avant la flexibilité de l’économie marocaine et sa réponse aux crises économiques et géopolitiques mondiales. Elle a saisi l’occasion pour saluer le rôle agissant du Maroc dans les partenariats visant le développement des pays à revenu intermédiaire.

Cette Conférence ministérielle de Haut Niveau s’inscrit dans le cadre de la présidence du Royaume du Maroc du Groupe des Amis des pays à revenu intermédiaire dans le cadre des Nations Unies, qu’il assure depuis 2023, et dans la continuité de son plaidoyer en faveur des intérêts des pays en développement, sous la vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en faveur d’un multilatéralisme agissant et solidaire.

Il s’agit également d’un espace d’échange sur les plus importantes problématiques de financement qui compliquent la situation économique des pays à revenu intermédiaire.

Les experts de 32 pays et 23 Agences de développement des Nations Unies et autres institutions internationales et régionales participent à cette conférence.

Christiane EKAMBO/journaldesnations.net