Le Programme alimentaire mondial -PAM- a entamé, mardi 20 mars l’assistance en vivres en faveur d’environ vingt-quatre mille déplacés dans le territoire de Djugu (Ituri). Selon des sources locales, les besoins humanitaires sont encore énormes par rapport au nombre de déplacés estimés à environ 350 000 sur toute l’étendue de la province.
Au site de Kpandroma en territoire de Djugu, le nombre de bénéficiaires est évalué à environ 6 000 personnes. Elles reçoivent de la farine de maïs, de l’huile végétale et du sel.
Au site de Kasenyi à 55 kilomètres au sud de Bunia au bord du lac Albert, il y a environ 18 000 déplacés qui reçoivent depuis mardi de vivres. Ils ont reçu de haricot, de la farine de maïs et du sel pour un mois.
La société civile de Kpandroma salue cette action des humanitaires qui permet de soulager la souffrance de déplacés qui sont dépourvus de tout. Mais son président indique que les deplacees ont besoin de davantage d’assistance alimentaire.
Selon des sources concordantes, la province de l’Ituri compte actuellement environ 350 000 déplacés disséminés en territoire de Mahagi, de Djugu et d’Irumu. La plupart d’entre eux n’ont pas encore reçu de l’assistance et vivent dans des conditions déplorables. Les actions humanitaires menées précédemment étaient orientées au camp de l’hôpital général de Bunia.
Au site de Kpandroma en territoire de Djugu, le nombre de bénéficiaires est évalué à environ 6 000 personnes. Elles reçoivent de la farine de maïs, de l’huile végétale et du sel.
Au site de Kasenyi à 55 kilomètres au sud de Bunia au bord du lac Albert, il y a environ 18 000 déplacés qui reçoivent depuis mardi de vivres. Ils ont reçu de haricot, de la farine de maïs et du sel pour un mois.
La société civile de Kpandroma salue cette action des humanitaires qui permet de soulager la souffrance de déplacés qui sont dépourvus de tout. Mais son président indique que les deplacees ont besoin de davantage d’assistance alimentaire.
Selon des sources concordantes, la province de l’Ituri compte actuellement environ 350 000 déplacés disséminés en territoire de Mahagi, de Djugu et d’Irumu. La plupart d’entre eux n’ont pas encore reçu de l’assistance et vivent dans des conditions déplorables. Les actions humanitaires menées précédemment étaient orientées au camp de l’hôpital général de Bunia.
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