« Nous sommes le seul pays au monde où, si une personne arrive et a un bébé, le bébé est citoyen des Etats-Unis… avec tous les avantages », affirme Donald Trump dans cet entretien télévisé. « C’est ridicule, c’est ridicule, il faut que cela cesse ».
À une semaine d’élections législatives cruciales pour la suite de son mandat, le Président des Etats-Unis Donald Trump a annoncé vouloir mettre fin, par décret, au droit du sol qui stipule que tout enfant né sur le territoire américain a la nationalité américaine.
Cette proposition, formulée au lendemain de l’annonce de l’envoi de plus de 5.000 militaires à la frontière mexicaine, s’inscrit dans une série de déclarations du magnat de l’immobilier visant à placer l’immigration au coeur du débat politique.
D’un tweet, il a agité cette semaine le spectre d’une « invasion » de migrants en évoquant la progression d’une caravane de migrants centraméricains fuyant la violence dans leurs pays.
Dans un entretien à Axios publié mardi, Donald Trump assure envisager de signer un décret pour que les enfants nés sur le sol américain de parents en situation irrégulière ne bénéficient plus de la nationalité américaine.
La remise en cause, par décret présidentiel, de ce principe inscrit dans le 14ème amendement de la Constitution, devrait cependant se heurter à des obstacles juridiques majeurs, nombre d’experts estimant que le président ne peut prendre une telle décision.
Avec AFP
D’un tweet, il a agité cette semaine le spectre d’une « invasion » de migrants en évoquant la progression d’une caravane de migrants centraméricains fuyant la violence dans leurs pays.
Dans un entretien à Axios publié mardi, Donald Trump assure envisager de signer un décret pour que les enfants nés sur le sol américain de parents en situation irrégulière ne bénéficient plus de la nationalité américaine.
La remise en cause, par décret présidentiel, de ce principe inscrit dans le 14ème amendement de la Constitution, devrait cependant se heurter à des obstacles juridiques majeurs, nombre d’experts estimant que le président ne peut prendre une telle décision.
Avec AFP