Le groupe de production musicale, Maajabu Gospel passe à la deuxième étape dans le cadre du concours, « Maajabu Rafiki » sous le slogan : « Laissez venir à moi les petits enfants ».
Cette nouvelle compétition lancée depuis juin dernier concerne essentiellement les jeunes talents du Gospel dont l’âge varie entre 8 et 17 ans, et habitants dans la ville de Kinshasa, apprend-t-on d’une annonce publiée sur le compte YouTube de Maajabu Gospel le 10 août dernier.
A ce stade, le concours est à l’étape des auditions de différentes compositions, ce, après la présélection des candidats. Face à un jury de renom composé de Mike Kalambay, Sandra Mbuyi, Deborah Lukalu et Rosny Kayiba, les candidats auront fort à faire, peut-on le dire.
« Le principe des auditions est le suivant, le candidat se présente devant le jury et exécute un morceau de musique gospel », a déclaré notre même source. Et de poursuivre : « Dès lors, trois issues sont envisageables soit une élimination pure et simple de la compétition symbolisée par un cachet de couleur rouge soit une nouvelle chance pour repasser les auditions symbolisées par un cachet de couleur orange ou encore pour les plus chanceux, une qualification aux phases finales de la compétition symbolisée par un cachet de couleur verte ».
Maajabu Rafiki est mis en scène aux des allures d’une télé-réalité. L’émission présente les familles des candidats et sollicite la réaction des candidats après l’annonce de leur sort, a-t-on constaté lors des prestations récentes.
Maajabu Gospel, est l’une des célèbres chaînes de télévision gospel en RDC reste un espace de renom au centre de la promotion des chanteurs gospel de talent pour l’essor de ce genre musical dans le paysage artistique congolais.
Au cours du grand concours Maajabu Talents, réussi, selon les organisateurs, le grand prix avait été remporté par Alain Paluku.
L’objectif fut atteint en 2022 avec la première édition de Maajabu Talents qui a permis de révéler des nouveaux talents de l’industrie musicale du gospel congolais notamment Alain Paluku, Ruth Kimongoli, Emmanuel Matondo et Manassé Sinda.
Déodat NTANGU/Stagiaire
