Dans un communiqué de la Cour pénale internationale -CPI- parvenu samedi 18 mai à la Rédaction de « Journal des Nations« , la Chambre d’appel annonce ses jugements en appel concernant le verdict et la peine pour le 8 juin prochain sur l’affaire Le Procureur c. Jean-Pierre Bemba Gombo, sénateur et ancien vice-président de la République en RD-Congo.
Le 8 juin 2018, à 16 heures locales de La Haye, la Chambre d’appel de la CPI tiendra une audience publique dans l’affaire Le Procureur c. Jean-Pierre Bemba Gombo, au siège de la Cour à La Haye dans le Pays-Bas. Lors de ladite audience, la Chambre prononcera ses jugements concernant les appels à l’encontre du verdict et de la peine dans cette affaire.
La Chambre sera composée de la juge Christine Van den Wyngaert, Juge présidente, le juge Chile Eboe-Osuji, la juge Sanji Monageng, le juge Howard Morrison, et le juge Piotr Hofmański.
À titre de rappel, le 21 mars 2016, Jean‑Pierre Bemba a été déclaré coupableau‑delà de tout doute raisonnable, en tant que chef militaire, de deux chefs de crimes contre l’humanité -meurtre et viol- et de trois chefs de crimes de guerre -meurtre, viol et pillage-, commis en République centrafricaine entre octobre 2002 et mars 2003.
Le 21 juin 2016, la Chambre de première instance III a condamné M. Bemba à 18 ans d’emprisonnement. Suite à ces décisions, M. Bemba a fait appel du verdict et de la peine et le Procureur a fait appel de la peine.
Par René KANZUKU
Le 8 juin 2018, à 16 heures locales de La Haye, la Chambre d’appel de la CPI tiendra une audience publique dans l’affaire Le Procureur c. Jean-Pierre Bemba Gombo, au siège de la Cour à La Haye dans le Pays-Bas. Lors de ladite audience, la Chambre prononcera ses jugements concernant les appels à l’encontre du verdict et de la peine dans cette affaire.
La Chambre sera composée de la juge Christine Van den Wyngaert, Juge présidente, le juge Chile Eboe-Osuji, la juge Sanji Monageng, le juge Howard Morrison, et le juge Piotr Hofmański.
À titre de rappel, le 21 mars 2016, Jean‑Pierre Bemba a été déclaré coupableau‑delà de tout doute raisonnable, en tant que chef militaire, de deux chefs de crimes contre l’humanité -meurtre et viol- et de trois chefs de crimes de guerre -meurtre, viol et pillage-, commis en République centrafricaine entre octobre 2002 et mars 2003.
Le 21 juin 2016, la Chambre de première instance III a condamné M. Bemba à 18 ans d’emprisonnement. Suite à ces décisions, M. Bemba a fait appel du verdict et de la peine et le Procureur a fait appel de la peine.
Par René KANZUKU