La police nationale congolaise (PNC) a remis lundi 12 mars aux autorités judiciaires de Bunia treize présumés auteurs des crimes perpétrés en territoire de Djugu (Ituri). D’après le porte-parole de la PNC en Ituri, il s’agit d’un premier groupe d’assaillants appréhendés par les forces de l’ordre sur le champ des batailles à Djugu. D’autres membres de cette bande seront remis au fur et à mesure que les officiers de police judiciaire vont finir l’instruction de leurs dossiers.
Les dossiers physiques de ces personnes ont été officiellement remis à l’auditorat militaire de l’Ituri à Bunia.
« Des éléments de la police ainsi que ceux de l’armée qui sont au front, lorsqu’ils les appréhendent, ils les amènent devant une commission, qui a été créée pour audition pré juridictionnelle avant qu’ils ne soient remis entre les mains de la justice », explique le gouverneur de la province de l’Ituri, Jefferson Abdallah Pene Mbaka.
Jean Bosco Lalo, coordonnateur de la société civile en Ituri salue « l’effort qui a été fourni pour ramener ces gens-là devant l’auditorat ». Mais il plaide pour une évolution rapide du procès. Cela passe, estime-t-il, par la « mise à la disposition de la justice des moyens appropriés pour bien faire ce travail».
Le chef du parquet militaire de l’Ituri précise que ses services approfondissent les enquêtes initiées par la police avant d’envisager une date pour des audiences foraines publiques.
Radiookapi.net
Les dossiers physiques de ces personnes ont été officiellement remis à l’auditorat militaire de l’Ituri à Bunia.
« Des éléments de la police ainsi que ceux de l’armée qui sont au front, lorsqu’ils les appréhendent, ils les amènent devant une commission, qui a été créée pour audition pré juridictionnelle avant qu’ils ne soient remis entre les mains de la justice », explique le gouverneur de la province de l’Ituri, Jefferson Abdallah Pene Mbaka.
Jean Bosco Lalo, coordonnateur de la société civile en Ituri salue « l’effort qui a été fourni pour ramener ces gens-là devant l’auditorat ». Mais il plaide pour une évolution rapide du procès. Cela passe, estime-t-il, par la « mise à la disposition de la justice des moyens appropriés pour bien faire ce travail».
Le chef du parquet militaire de l’Ituri précise que ses services approfondissent les enquêtes initiées par la police avant d’envisager une date pour des audiences foraines publiques.
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