Dans un communiqué de presse publié mardi 11 janvier 2022, la cellule de communication du Fonds de Promotion de l’industrie ( FPI) dénonce une campagne de harcèlement dont est victime son directeur général ad intérim dont il fait objet par certains éditeurs de presse qui réclament des paiements injustifiés.
Parmi les personnes et éditeurs des journaux qui se livrent ces actes malsains contre le FPI, il s’agit entre autres ;
1.Pascal MULUNDA, éditeur du journal le Monitor, numéro de téléphone +243850845583.
2.RONY NGALAMULUME POLESHA : éditeur des journaux Le pacific et la puissance, numéro de téléphone : + 243992281792.
3.PAPY OLIVIER MAMBO : éditeur du journal la Rupture, numéro téléphone ; +243810206550.
4.Dany BUNGA, éditeur du journal le Climat Tempéré, numéro de téléphone, +243895175943.
Selon la cellule de communication du Fonds de Promotion de l’industrie ( FPI), ces journalistes éditeurs des journaux, ont eu à écrire et Publier unilatéralement et sans autorisation des articles relatifs à cette institution et à introduire par la suite des factures afin d’en réclamer paiement, sans avoir reçu au préalable un mandat écrit ou verbal comme l’exigent les fondamentaux de FPI.
Ces éditeurs Kamikazes, harcèlent le directeur général a.i de FPI avec des appels et SMS même par WhatsApp et cela avec une arrogance et un excès de zèle malgré leur façon de faire qui, du reste est non professionnelle.
« Le FPI constate avec regret que malgré les multiples explications fournies à ces personnes et le fait que l’Union nationale de la presse du Congo ( unpc) qui est l’organe d’auto régulation a été associée à la démarche pour décourager cette mauvaise pratique et sévir en rappelant à l’ordre ces quatres éditeurs, les harcèlements se poursuivent sans désemparer jusqu’à atteindre 40 appels de harcèlement par jour », dénonce le service de communication de FPI.
Par conséquent, le FPI invite tous les mandataires qui auraient été victimes des mauvaises pratiques des personnes citées- çi haut, à s’unir à lui en concours afin de décourager les auteurs de ce désordre dans le milieu des médias.
Francis OTSHUDI