Le vendredi 28 mars 2025, la Birmanie a été secouée par un séisme d’une violence inouïe, laissant derrière lui un paysage de dévastation et un peuple en deuil. Ce tremblement de terre d’une magnitude catastrophique de 7,7 a frappé le cœur du pays, causant des destructions massives et plongeant des communautés entières dans le chaos.
Le bilan, encore provisoire, fait état d’une tragédie humaine d’une ampleur dévastatrice : au moins 192 personnes ont perdu la vie, plus de 802 ont été blessées, et 237 autres restent désespérément portées disparues sous les décombres.
La puissance du séisme a été telle que les secousses ont franchi les frontières, se faisant ressentir jusqu’en Chine et en Thaïlande, où un immeuble en construction s’est effondré à Bangkok, illustrant la force destructrice de la nature. Face à cette catastrophe sans précédent, la junte birmane au pouvoir a décrété l’état d’urgence dans six régions du pays, les plus gravement touchées par le séisme.
Consciente de l’ampleur de la crise, l’autorité militaire a lancé un appel urgent à la communauté internationale, demandant une aide humanitaire immédiate pour secourir les victimes, soigner les blessés et reconstruire les infrastructures dévastées. La solidarité internationale devient désormais essentielle pour aider la Birmanie à faire face à cette épreuve et à se relever des décombres. La situation humanitaire est critique, et chaque minute qui passe est cruciale pour sauver des vies et offrir un soutien aux populations sinistrées.
Josué Kalubi