Réaction positive du Parti du Nouvel Élan du Congo en rapport avec le passage de l’ambassadrice des États-Unis à l’ONU, Nikki Haley. Bonne lecture:
DIALOGUE CONSTITUTIONNEL: PANECO avait raison
La visite de Nikky Halley, la diplomate américaine très attendue dans le microcosme politique congolais a pris fin sur une note qui laisse perplexe toute la population. Les thèses des uns et des autres sont restées stables comme si l’opposition n’y avait pas trouvé son compte à en croire les déclarations de déception faites par celle-ci.
Le paneco dans ses aspirations politiques profondes rendues publiques avec sa lettre adressée au Chef de l’Etat, avait proposé le dialogue constitutionnel qui reste la seule option crédible pour l’apaisement à la crise.
Le dialogue constitutionnel s’impose d’autant plus que dans les prises de positions issues de cette visite, il est claire qu’un dialogue non clarifié est encore envisagé pour certainement le partage du pouvoir susceptible de retarder les prochaines élections.
Le PANECO par son président n’a cessé de susciter l’intérêt de la jeunesse pour se préparer aux élections et non pour un autre partage du pouvoir.
Ayant été mal compris dans son initiative du dialogue constitutionnel par les apôtres du chaos, le Président Bernard Kayumba reste convaincu qu’un dialogue quelque soit son contenu ne doit pas en cette periode concerner les intérêts individuels des acteurs politiques véreux, mais l’aménagement de la constitution comme symbole du pouvoir du souverain primaire pour aller aux élections dans la quiétude.
Curieusement et avec bonheur, l’Accord politique de la Saint Sylvestre n’a pas été vidé de sa substance par la diplomate américaine suivant la volonté de l’opposition. Celle-ci a consolidé cet Accord politique en traduisant le vœu de le voir être appliqué jusqu’en 2018 pour avoir les élections suivant le calendrier de la CENI. C’est à la CENI seule de faire ce travail technique qu’elle avait déjà défendu devant la classe politique réunie à la cité de l’UA.
Bernard Kayumba plaide pour les bonnes élections et non pour les élections chaotiques.
Pour l’heure, le PANECO réaffirme sa volonté de voir le peuple se prononcer sur le devenir de la République après 57 ans d’indépendance. La responsabilité de la nouvelle jeunesse qui aspire à gérer le pays est celle de gérer les problèmes internes sans recours au caporalisme des autres.
Bernard KAYUMBA
Président National