Cela a été annoncé il y a peu et elle circulait tantôt comme une rumeur, qui pourtant était confirmé en prenant langue avec un des conducteurs comme cela a été le cas pour nous.
À la base de ce mécontentement, plusieurs points, entre autres la hausse du carburant suscitant la nouvelle grille tarifaire qui, depuis son officialisation, a toujours créé beaucoup des discordes entre les transporteurs et les clients qui justifiaient que la grille a été mal conçue et sans tenir compte de certains paramètres.
Une confusion totale. Un autre problème, les petites coupures où certaines discussions étaient parce que l’une ou l’autre des deux parties ne voulait qu’on ne parte avec ses 100 FC ou 200 FC, par manque des petites coupures.
Autre motivation de cette grève, apprend-t-on, la tracasserie routière où tantôt les roulages, tantôt un simple policier non commis à la circulation routière qui entend se remplir les poches ou encore ces hommes en tenues civiles se présentant à temps et à contre temps et se réclamant d’un service ou d’un autre.
Au niveau de l’Association des chauffeurs du Congo -ACCO-, l’on soutiendrait qu’aucun mouvement de grève n’a été décrété et que tous les chauffeurs devaient être sur terrain pour servir la population. Beaucoup de ces chauffeurs, membres de ladite association soutiennent que le président ne défend guère les intérêts de chauffeurs comme son prédécesseur qui avait au moins un bureau connu à limeté et qui, dans sa période, organisé de petites cotisations qui permettaient même aux chauffeurs, à chaque fin de lannée, de recevoir une petite ration ou d’être assisté en cas de problème.
Chose qui n’est pas le cas à ce jour. L’on peut donc conclure qu’il y a lieu de consolider cette structure pour ne pas faire souffrir la population.
Par Blaise PUALA
Site d'information des nations en RDC
