La vigilance de la délégation marocaine au PAP a fait échec au plan du polisario d’inclure la question du Sahara marocain dans les débats

Au cours des travaux de la deuxième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain (PAP), qui se tient depuis le 8 mai au siège de l’institution à Johannesburg, en Afrique du Sud, la délégation marocaine travaille d’arrache-pied pour le bon déroulement de cette réunion des grands enjeux.

C’est grâce à sa vigilance que la délégation a fait échouer une tentative de certains membres du polisario d’inclure la question du Sahara marocain dans les débats. Les «polisariens» sont même allés jusqu’à déverser leur haine et leur séparatisme sur les travaux de la Commission qu’ils ont perturbés voire même interrompus.

Tout s’est passé mardi 23 mai lors de la réunion de la Commission permanente de la coopération, des relations internationales et des règlements des conflits. Cette commission est dédiée à l’adoption des rapports examinés durant les réunions précédentes. Un membre de l’entité fantoche choisi ce moment pour protester contre le fait que les documents examinés n’ont pas mentionné le conflit factice entretenu autour du Sahara marocain.

En réponse à cette énième provocation, le député marocain Abdessamad Haiker, membre de cette Commission, a expliqué que l’absence de toute citation ou référence à la question du Sahara marocain dans les rapports de ladite Commission est due au fait que cette question relève du rôle exclusif de l’ONU.

Ennemis de l’intégrité marocaine

M. Haiker, député du Parti Justice et développement (PJD), s’est également indigné contre les «troubles» créés par les représentants de l’entité fantoche durant la séance plénière de mardi, lorsque la parlementaire marocaine Laila Dahi a pris la parole pour corriger les contre-vérités évoquées par certains «polisariens» concernant le conflit artificiel autour du Sahara marocain.

Les efforts crédibles et sérieux que déploie inlassablement le Maroc pour parvenir à une solution politique de la question du Sahara marocain, ne sont plus à démontrer.

La communauté internationale a salué tous ces efforts par la reconnaissance de la marocanité du Sahara, avec l’ouverture de plusieurs Consulats dans les provinces du Sud du Royaume.

Le Parlement panafricain est une Assemblée consultative de l’Union africaine qui regroupe les députés des pays membres de l’Union africaine. Il a été créé en vertu de l’article 5 de l’Acte constitutif de l’UA et installé officiellement dans ses fonctions le 18 mars 2004.

Chaque État membre est représenté au sein du PAP par cinq parlementaires issus de la majorité et l’opposition, dont au moins une femme, élus ou désignés par leurs parlements ou organes législatifs nationaux. La deuxième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain (PAP) fermera ses portes le 3 juin prochain.

Christiane EKAMBO

La vigilance de la délégation marocaine au PAP a fait échec au plan du polisario d’inclure la question du Sahara marocain dans les débats

Au cours des travaux de la deuxième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain (PAP), qui se tient depuis le 8 mai au siège de l’institution à Johannesburg, en Afrique du Sud, la délégation marocaine travaille d’arrache-pied pour le bon déroulement de cette réunion des grands enjeux.

C’est grâce à sa vigilance que la délégation a fait échouer une tentative de certains membres du polisario d’inclure la question du Sahara marocain dans les débats. Les «polisariens» sont même allés jusqu’à déverser leur haine et leur séparatisme sur les travaux de la Commission qu’ils ont perturbés voire même interrompus.

Tout s’est passé mardi 23 mai lors de la réunion de la Commission permanente de la coopération, des relations internationales et des règlements des conflits. Cette commission est dédiée à l’adoption des rapports examinés durant les réunions précédentes. Un membre de l’entité fantoche choisi ce moment pour protester contre le fait que les documents examinés n’ont pas mentionné le conflit factice entretenu autour du Sahara marocain.

En réponse à cette énième provocation, le député marocain Abdessamad Haiker, membre de cette Commission, a expliqué que l’absence de toute citation ou référence à la question du Sahara marocain dans les rapports de ladite Commission est due au fait que cette question relève du rôle exclusif de l’ONU.

Ennemis de l’intégrité marocaine

M. Haiker, député du Parti Justice et développement (PJD), s’est également indigné contre les «troubles» créés par les représentants de l’entité fantoche durant la séance plénière de mardi, lorsque la parlementaire marocaine Laila Dahi a pris la parole pour corriger les contre-vérités évoquées par certains «polisariens» concernant le conflit artificiel autour du Sahara marocain.

Les efforts crédibles et sérieux que déploie inlassablement le Maroc pour parvenir à une solution politique de la question du Sahara marocain, ne sont plus à démontrer.

La communauté internationale a salué tous ces efforts par la reconnaissance de la marocanité du Sahara, avec l’ouverture de plusieurs Consulats dans les provinces du Sud du Royaume.

Le Parlement panafricain est une Assemblée consultative de l’Union africaine qui regroupe les députés des pays membres de l’Union africaine. Il a été créé en vertu de l’article 5 de l’Acte constitutif de l’UA et installé officiellement dans ses fonctions le 18 mars 2004.

Chaque État membre est représenté au sein du PAP par cinq parlementaires issus de la majorité et l’opposition, dont au moins une femme, élus ou désignés par leurs parlements ou organes législatifs nationaux. La deuxième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain (PAP) fermera ses portes le 3 juin prochain.

Christiane EKAMBO

Au cours des travaux de la deuxième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain (PAP), qui se tient depuis le 8 mai au siège de l’institution à Johannesburg, en Afrique du Sud, la délégation marocaine travaille d’arrache-pied pour le bon déroulement de cette réunion des grands enjeux.

C’est grâce à sa vigilance que la délégation a fait échouer une tentative de certains membres du polisario d’inclure la question du Sahara marocain dans les débats. Les «polisariens» sont même allés jusqu’à déverser leur haine et leur séparatisme sur les travaux de la Commission qu’ils ont perturbés voire même interrompus.

Tout s’est passé mardi 23 mai lors de la réunion de la Commission permanente de la coopération, des relations internationales et des règlements des conflits. Cette commission est dédiée à l’adoption des rapports examinés durant les réunions précédentes. Un membre de l’entité fantoche choisi ce moment pour protester contre le fait que les documents examinés n’ont pas mentionné le conflit factice entretenu autour du Sahara marocain.

En réponse à cette énième provocation, le député marocain Abdessamad Haiker, membre de cette Commission, a expliqué que l’absence de toute citation ou référence à la question du Sahara marocain dans les rapports de ladite Commission est due au fait que cette question relève du rôle exclusif de l’ONU.

Ennemis de l’intégrité marocaine

M. Haiker, député du Parti Justice et développement (PJD), s’est également indigné contre les «troubles» créés par les représentants de l’entité fantoche durant la séance plénière de mardi, lorsque la parlementaire marocaine Laila Dahi a pris la parole pour corriger les contre-vérités évoquées par certains «polisariens» concernant le conflit artificiel autour du Sahara marocain.

Les efforts crédibles et sérieux que déploie inlassablement le Maroc pour parvenir à une solution politique de la question du Sahara marocain, ne sont plus à démontrer.

La communauté internationale a salué tous ces efforts par la reconnaissance de la marocanité du Sahara, avec l’ouverture de plusieurs Consulats dans les provinces du Sud du Royaume.

Le Parlement panafricain est une Assemblée consultative de l’Union africaine qui regroupe les députés des pays membres de l’Union africaine. Il a été créé en vertu de l’article 5 de l’Acte constitutif de l’UA et installé officiellement dans ses fonctions le 18 mars 2004.

Chaque État membre est représenté au sein du PAP par cinq parlementaires issus de la majorité et l’opposition, dont au moins une femme, élus ou désignés par leurs parlements ou organes législatifs nationaux. La deuxième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain (PAP) fermera ses portes le 3 juin prochain.

Christiane EKAMBO