L’Union démocratique africaine (UDA) originelle dit ne plus croire à la tenue des élections en République démocratique du Congo (RDC). Au cours de sa matinée politique organisée samedi 21 octobre, ce parti politique cher à Claudel Lubaya pense que les choses ne pourront avancer au pays qu’avec le départ du président Joseph Kabila.
«Le processus électoral tel que la Commission électorale nationale indépendante (CENI) est en train de la conduire, c’est de la provocation. Nous n’y entrons plus. Nous n’y croyons plus d’ailleurs et nous pensons que cette provocation n’amènera pas le pays dans un bon chemin», a affirmé, Patrick Nsakala, le nouveau secrétaire général de l’UDA, installé le même samedi.
Patrick Nsakala remplace à ce poste Martin Munkokole qui a démissionné pour diriger le mouvement citoyen «Umuja ou Bomoko.»
Le nouveau secrétaire général de l’UDA souhaite que les élections soient organisées «d’une autre manière et pas avec la CENI dirigée par Corneille Nangaa.»
Pour l’UDA, le pouvoir actuel s’arrête à la fin du 31 décembre 2017.
«Pour que les choses marchent bien dans ce pays, il faut faire les choses sans Kabila. C’est pourquoi nous avons dit, au 31 décembre, les choses s’arrêtent avec Kabila», a ajouté Patrick Nsakala.
La matinée politique de l’UDA a eu lieu sur fond de tensions. Avant le début de la cérémonie, la Police nationale congolaise avait interdit le matin, tout accès dans la salle réservée.
C’est finalement dans l’après-midi que la manifestation a pu avoir lieu au siège du parti.
«Le processus électoral tel que la Commission électorale nationale indépendante (CENI) est en train de la conduire, c’est de la provocation. Nous n’y entrons plus. Nous n’y croyons plus d’ailleurs et nous pensons que cette provocation n’amènera pas le pays dans un bon chemin», a affirmé, Patrick Nsakala, le nouveau secrétaire général de l’UDA, installé le même samedi.
Patrick Nsakala remplace à ce poste Martin Munkokole qui a démissionné pour diriger le mouvement citoyen «Umuja ou Bomoko.»
Le nouveau secrétaire général de l’UDA souhaite que les élections soient organisées «d’une autre manière et pas avec la CENI dirigée par Corneille Nangaa.»
Pour l’UDA, le pouvoir actuel s’arrête à la fin du 31 décembre 2017.
«Pour que les choses marchent bien dans ce pays, il faut faire les choses sans Kabila. C’est pourquoi nous avons dit, au 31 décembre, les choses s’arrêtent avec Kabila», a ajouté Patrick Nsakala.
La matinée politique de l’UDA a eu lieu sur fond de tensions. Avant le début de la cérémonie, la Police nationale congolaise avait interdit le matin, tout accès dans la salle réservée.
C’est finalement dans l’après-midi que la manifestation a pu avoir lieu au siège du parti.