Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, se dit satisfait que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) se soit assumée en toute responsabilité et qu’elle ne s’est pas laissée infantiliser en dépit des multiples pressions tant internes qu’externes dont elle a fait objet.
Il l’a dit au cours d’une conférence de presse animée, ce mercredi 08 novembre 2017, à son cabinet de travail à Kinshasa/Gombe suite à l’annonce du calendrier électoral par la Ceni.
« C’est pour le gouvernement de la république une étape décisive du processus électoral qui vient ainsi d’être franchie par la CENI que d’aucun, dans leur impatience, ont longtemps accusée de mauvaise foi, de duplicité, de double langage ou de faire le jeu du pouvoir soupçonné, à tort, d’avoir une inclinaison viscérale au glissement… »ajoute-t-il.
Il souligne que ce calendrier a bel et bien vocation à rencontrer les attentes légitimes du peuple congolais ainsi qu’à mettre fin aux démangeaisons des acteurs politiques et à certaines exigences de quelques décideurs étrangers. Ce chronogramme, note-t-il, peut compter sur un soutien sans faille du gouvernement, et ce, bien qu’il fasse l’objet des commentaires en sens divers, des critiques acerbes voire d’attaques en règle.
À en croire le porte-parole du gouvernement, l’exécutif entend faire sa part pour que ce calendrier électoral réaliste, élaboré par la seule instance habilitée, en tenant compte de toutes les exigences et contraintes qui ont été rappelées de manière honnête et transparente, soit scrupuleusement respectée.
Il pense que les élections ne sont plus comparables à un devoir scolaire ainsi que l’a suggéré étourdiment un acteur politique de l’opposition qui a qualifié, sur les ondes d’un média français, le calendrier publié par la CENI de « devoir de mauvais écolier. » Comme si notre centrale électorale était en quête de bonnes notes auprès d’on ne sait pas quel instituteur à l’instar de l’acteur politique en question et ses amis qui passent le plus clair de leur temps à quémander le satisfait de leurs maîtres » a-t-il dénoncé.
Par la même occasion, il a annoncé que le gouvernement prend acte du communiqué, plein de bon sens, publié par le Département américain qui a salué la publication du calendrier électoral de la Ceni et invité toutes les parties prenantes ainsi que le peuple congolais tout entier à l’Union sacrée en vue de faire aboutir ce processus historique.
Il poursuit que c’est un communiqué qui, soit dit en passant, va naturellement dans le même sens que la déclaration forte de l’ambassadrice des États-Unis auprès de l’ONU, que certains dans certains groupes politiques politiquement inconséquents avaient naïvement pris pour la mère-fouettarde il y a quelques semaines encore lorsqu’avait été annoncée sa visite dans notre pays.
Il estime que la mise en oeuvre intégrale de ce calendrier va dans le sens des intérêts légitimes du peuple congolais qui a su démontrer sa maturité politique tout au long de ces dernières années au cours desquelles il a eu à triompher de défis autrement plus éprouvant et douloureux.
Clement Muamba/times.cd
Il l’a dit au cours d’une conférence de presse animée, ce mercredi 08 novembre 2017, à son cabinet de travail à Kinshasa/Gombe suite à l’annonce du calendrier électoral par la Ceni.
« C’est pour le gouvernement de la république une étape décisive du processus électoral qui vient ainsi d’être franchie par la CENI que d’aucun, dans leur impatience, ont longtemps accusée de mauvaise foi, de duplicité, de double langage ou de faire le jeu du pouvoir soupçonné, à tort, d’avoir une inclinaison viscérale au glissement… »ajoute-t-il.
Il souligne que ce calendrier a bel et bien vocation à rencontrer les attentes légitimes du peuple congolais ainsi qu’à mettre fin aux démangeaisons des acteurs politiques et à certaines exigences de quelques décideurs étrangers. Ce chronogramme, note-t-il, peut compter sur un soutien sans faille du gouvernement, et ce, bien qu’il fasse l’objet des commentaires en sens divers, des critiques acerbes voire d’attaques en règle.
À en croire le porte-parole du gouvernement, l’exécutif entend faire sa part pour que ce calendrier électoral réaliste, élaboré par la seule instance habilitée, en tenant compte de toutes les exigences et contraintes qui ont été rappelées de manière honnête et transparente, soit scrupuleusement respectée.
Il pense que les élections ne sont plus comparables à un devoir scolaire ainsi que l’a suggéré étourdiment un acteur politique de l’opposition qui a qualifié, sur les ondes d’un média français, le calendrier publié par la CENI de « devoir de mauvais écolier. » Comme si notre centrale électorale était en quête de bonnes notes auprès d’on ne sait pas quel instituteur à l’instar de l’acteur politique en question et ses amis qui passent le plus clair de leur temps à quémander le satisfait de leurs maîtres » a-t-il dénoncé.
Par la même occasion, il a annoncé que le gouvernement prend acte du communiqué, plein de bon sens, publié par le Département américain qui a salué la publication du calendrier électoral de la Ceni et invité toutes les parties prenantes ainsi que le peuple congolais tout entier à l’Union sacrée en vue de faire aboutir ce processus historique.
Il poursuit que c’est un communiqué qui, soit dit en passant, va naturellement dans le même sens que la déclaration forte de l’ambassadrice des États-Unis auprès de l’ONU, que certains dans certains groupes politiques politiquement inconséquents avaient naïvement pris pour la mère-fouettarde il y a quelques semaines encore lorsqu’avait été annoncée sa visite dans notre pays.
Il estime que la mise en oeuvre intégrale de ce calendrier va dans le sens des intérêts légitimes du peuple congolais qui a su démontrer sa maturité politique tout au long de ces dernières années au cours desquelles il a eu à triompher de défis autrement plus éprouvant et douloureux.
Clement Muamba/times.cd