En mission officielle à kinshasa, l’Ex-présidente centrafricaine Samba Panza soutient la machine à voter

Pendant la séance de travail, Catherine Samba Panza à l’extrême gauche, la Ministre Chantal Safou à l’extrême droite, le vice-président de la CENI, Norbert Basengezi au milieu et les membres de la plénière.

Dans une séance de travail, en présence de la ministre du Genre Chantal Safou, entre la délégation de FEMWISE AFRICA et la Commission électorale nationale indépendante -CENI- représentée par le vice-président Norbert Basengezi, cet organe électoral a convaincu l’ancienne présidente de la République centrafricaine sur la machine à voter. C’est ce vendredi 17 août dans la salle de plénière de la CENI que cette réunion a eu lieu.
De son côté, l’ex-presidente de la République centrafricaine, Catherine Samba Panza dit s’impliquer  pour apporter la bonne information  aux personnes  qui ont une un autre regard vis-à vis de la de la machine à voter qui fait l’objet d’une pomme de discorde entre l’Opposition et la Majorité présidentielle. » J »ai eu beaucoup de plaintes concernant la machine à voter, notamment il n’y a pas eu beaucoup  des concertations, pas d’explication concernant cette machine à voter, l’inclusivité, la neutralité  de la Cour constitutionnelle, nous ferons de notre mieux pour corser la sensibilisation  afin que le vote se passe dans la paix » a déclaré Samba Panza.
L’ex-présidente centrafricaine, Catherine Samba Panza.

Les explications de la CENI à Samba sur ladite machine
« Une imprimante, mais surtout une nouvelle technologie, une innovation travaillée depuis plusieurs années, qui va permettre un dépouillement rapide : « Ce n’est pas une machine à tricher, mais une machine à simplifier et à réduire le coût des élections. L’électeur glisse un seul bulletin dans la machine pour les trois élections. Pour chacune, la photo des candidats apparaît sur l’écran tactile. « Pour choisir votre candidat touchez sur sa photo et la machine zoome sur le candidat choisi », explique la commission électorale.
Et d’ajouter : »Il est possible d’annuler son choix, en cas d’erreur. A la fin de l’opération, la machine imprime les trois noms choisis au dos du bulletin de vote, que l’électeur va plier et glisser dans l’urne. Toutefois, la Commission électorale a un argument en béton pour imposer sa machine afin que les Congolais puissent voter  le 23 décembre 2018″.
Frezia KABAMBA (correspondante particulière)

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