Dans toutes les grandes internationales, les émissaires du gouvernement congolais ne cessent de dénoncer l’agression Rwandaise sous couvert des terroristes M23 à l’est de la République Démocratique du Congo. Les cris de la RDC a été entendu.
Lors d’une intervention devant la presse le 19 décembre dernier, la porte-parole du Quai d’Orsay, Anne-Claire Legendre, a exprimé la position de la France contre l’agression de la RDC par le Rwanda sous la casquette du mouvement terroriste M23.
Selon elle, « nous condamnons le soutien que le Rwanda apporte au groupe M23 et nous demandons que les processus de Luanda et de Nairobi puissent être intégralement mis en œuvre ».
Signalons que c’est pour la première fois seulement que la France affiche clairement sa position contre le soutien du Rwanda aux rebelles qui endeuillent depuis des décennies la RDC. Car, malgré le cessez-le-feu convenu le 25 novembre dans la capitale angolaise, qui serait suivi deux jours plus tard d’un retrait du M23 des zones conquises, le M23 n’a pas toujours abdiqué alors qu’il s’était dit prêt à commencer à se désengager et se retirer.
Pour la France qui se dit horrifiée, par ces massacres, tous les groupes armés doivent cesser immédiatement les combats et s’engager sans délai dans le processus de désarmement.
Toutefois, « ces actes ne peuvent rester impunis. Nous saluons la volonté des autorités congolaises de punir leurs auteurs en justice », a fait savoir Anne-Claire Legendre.
Nibez/ journaldesnations.net
