Les Violences sexuelles en RDC : la Division urbaine du Genre, Famille et Enfants de Kinshasa au créneau


Démarré depuis le lundi 18 décembre 2017, la pluie qui s’est abattue sur la capitale de la République Démocratique du Congo le 22 décembre 2017 n’a nullement empêché à la Division Urbaine du Genre, Famille et Enfant de la ville de Kinshasa ainsi associée à l’asbl Sanru, de poursuivre la sensibilisation des hôtes tirés du secteur judiciaire ainsi que ceux des organisations des jeunes, dans le cadre de ce plaidoyer sur les violences sexuelles et celles basées sur le genre qu’abrite la salle de conférence du siège de la Sanru dans la commune de la Gombe.
A ce titre, le Professeur Barthelemy KALAMBAYI s’est plus appesanti sur le rôle que devraient jouer ces derniers dans la société. Il a, en outre, été signalé bien des cas des viols non punis bien que des procédures judiciaires ont été légalement entamées.
Les raison majeures, soit que les familles des victimes se sont vue intimidées parce que les différents auteurs de ces viols se trouvent être haut placés ou encore quau niveau des instances judiciaires la corruption a pu éviter aux violeurs des quelconques poursuites pouvant les exposer à des fermes condamnations.
De ce fait il a été convenu que les acteurs judicaires puissent à leur tour, s’impliquer dans la lutte contre ce fléau car la société toute entière en est terriblement victime. Il a, en outre, été révélé quil existe également des cas des violences sexuelles dans le mariage puisque le fait que lautre nait émis son consentement tombe dans le lot de ces formes des viols déplorés.
Et la femme de son côté, face à ce forfait, se met en mauvaise posture quant à vouloir dénoncer pareil acte de peur de sattirer la foudre de la belle famille ou encore de la société toute entière pour avoir livré son homme. La lutte contre ce fléau parait alors laffaire de tous.
Il sied de rappeler que cette importante campagne sur ce plaidoyer sur les violences sexuelles et celles basées sur le genre qui a démarrée le lundi 18 décembre 2017, laquelle soutenue par Sanru, a eu pour première cible les leaders religieux, les artistes ainsi que les journalistes.
 
Blaise PUALA

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