Addis-Abeba : Mireille Masangu représente la RDC à la commission africaine sur le statut de la femme en prélude à la CSW68 de 2024 à New-York


La Ministre du Genre, Famille et Enfant, son Excellence Mireille Masangu Bibi Muloko a participé activement aux assises des ministres de l’Union africaine (UA) chargés du genre et des questions relatives aux femmes.

Ces membres des gouvernements africains se sont réunis le 14 novembre 2023 Ethiopie, à Addis-Abeba dans le cadre d’une réunion consultative hybride virtuelle/ou en présence, en prévision de la soixante-huitième session de la Commission des Nations-Unies sur la condition de la femme (CSW68), sous le thème prioritaire : « Accélérer la réalisation de l’égalité des sexes et l’autonomisation de toutes les femmes et les filles, en s’attaquant à la pauvreté et en renforçant les institutions et le financement dans une perspective genre ».

Ces assises avaient pour objectif, dégager un consensus sur les stratégies et les actions à mener pour que les femmes et les filles africaines ne soient pas « laissées pour compte » Par les politiques, les processus et les institutions de développement visant à éradiquer la pauvreté, à renforcer le système financier et à renforcer les institutions de développement.

Les ministres ont adopté la position commune africaine t-elle que preparée par les experts des États membres. Ils ont également examiné comment le financement public et les institutions peuvent perpétuer les stéréotypes en défaveur des femmes. Il s’agit de mettre en place le programme pour rectifier le tir.

Ils se sont entendus également sur la façon dont l’Afrique sera organisée pour parler d’une seule voix à la soixante-huitième session de la Commission des Nations-Unies sur la condition de la femme (CSW68), prévue du 11 au 23 mars 2024 à New-York.

« La pauvreté des femmes peut être comprise comme un processus de privatisation et d’épuisement façonné par des inégalités structurelles dans le ménage, le marché du travail et les institutions de l’État, et exacerbé par l’expérience des femmes d’une discrimination aggravée », ont-elles souligné.

Rédaction