Le 6 février 2025, lors d’un point de presse, le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a exprimé ses vives préoccupations concernant la situation en République démocratique du Congo (RDC). Il a souligné que la situation actuelle nécessitait une attention immédiate : « Arrêtez l’escalade », a-t-il déclaré. « Respectez la souveraineté de la République démocratique du Congo et le droit international humanitaire. »
Guterres a insisté sur le fait qu’il est urgent de se rassembler pour la paix. Il a affirmé que les acteurs concernés devaient faire taire les armes. Ce message fort a été reçu avec une attention particulière, la communauté internationale étant de plus en plus préoccupée par l’escalade des violences.
Il convient de noter que le secrétaire général a précisé qu’il n’existait pas de solution militaire à la crise. Les problèmes doivent être abordés de manière diplomatique et constructive. « La médiation est désormais une priorité », selon Guterres, qui a insisté sur le fait que tous les signataires du cadre de paix doivent honorer leurs engagements. En effet, l’heure est à la collaboration, et chaque acteur doit jouer son rôle dans ce processus.
Il est également important de souligner que les pays voisins, ainsi que les organisations régionales, ont un rôle essentiel à jouer. L’Union africaine et les Nations unies doivent travailler ensemble pour garantir un soutien adéquat aux efforts de paix. Les enjeux sont trop importants pour être ignorés, et il est crucial que toutes les parties prenantes s’engagent activement dans cette voie.
En conclusion, António Guterres a rappelé que les défis auxquels la RDC est confrontée ne peuvent être surmontés que par un engagement collectif. Alors que le sommet s’apprête à débuter, il est impératif que le message de paix soit entendu et que des actions concrètes soient entreprises. Le monde regarde, et il est temps de faire entendre la voix de la paix.
Josué KALUBI