Le Maroc réélu au Comité des Droits Economiques, Sociaux et Culturels de l’ONU

Le Royaume du Maroc a été réélu au Comité des Droits Economiques, Sociaux et Culturels de l’ONU, avec la nomination de Madame Charafat Afailal pour la période 2025-2028. Cette élection s’est tenue lors de la réunion du Conseil Economique et Social des Nations Unies (ECOSOC) qui le 9 avril 2024 à New York.

Sous la direction de Madame Charafat Afailal, le Maroc devra continuer à jouer un rôle majeur dans la promotion et la protection des droits économiques, sociaux et culturels au niveau international.
Selon une dépêche parvenue à notre rédaction,  » cette réélection témoigne de la reconnaissance de la communauté internationale envers les efforts du Royaume pour garantir le bien-être de ses citoyens et contribuer à l’avancement des droits de l’homme à l’échelle mondiale ».

Madame Charafat Afailal évolue dans le domaine des droits économiques, sociaux et culturels, en particulier dans le domaine de l’eau. En tant qu’ancienne responsable gouvernementale, elle a joué un rôle essentiel dans l’élaboration et la mise en œuvre d’initiatives nationales et internationales visant à garantir un accès universel et équitable à cette ressource vitale.

Cette réélection du Maroc au Comité des Droits Economiques, Sociaux et Culturels est une victoire pour le pays et confirme son engagement constant en faveur des droits de l’homme. Le Royaume poursuivra ainsi sa mission de défendre les valeurs universelles et de travailler pour un monde plus juste et équitable pour tous.

Par ailleurs, la reconduction du Maroc témoigne aussi de la crédibilité des efforts déployés par le Maroc pour relever les défis mondiaux qui entravent la pleine jouissance des droits économiques, sociaux et culturels des populations.
Signalons que l’engagement du Maroc s’est illustré ces dernières années par le lancement de plusieurs chantiers socioéconomiques, sous la Haute Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, notamment celui de la généralisation de la protection sociale et du Nouveau Modèle de Développement.

Josué Kalubi/JDN